Coucou Tout l'monde =) (attention, aux allergiques du gnan-gnan, cet article risque de dégouliner de niaiserie, je préviens ^^)
Ouais, un mois sans rien écrire, productivité 0. MAIS j'ai des excuses (oui oui, des xD) valables. Mon écran d'ordi est dead, déjà :/ (mais ça je l'avais déjà écrit dans mon avant-dernier article ^^). Le PC que mon chéri m'avait prêté est dead aussi (il avait déjà des soucis de carte mère, on pensait que c'était passé tout seul. Bah nan x)
Donc c'est assez chaud pour écrire des articles.
Puis comme la poisse me colle à la peau, j'ai choppé une angine de la mort qui m'a clouée au lit (donc exit le pc puisque mon écran viable est dans le salon lol), puis la semaine suivante (la semaine dernière quoi) un lumbago (donc je pouvais pas bouger et m'affaler dans le canapé était assez compliqué xD), et cette semaine le retour de la mort qui tue de l'angine, je ne répond pas aux antibios donc je dois subir des injections dans le fondement (enfin très exactement dans le gras de la hanche) tous les jours. Classe =)
Bref, je le prend avec philosophie, ça fait marrer les gens (et moi avec) après coup, quand j'suis plus à l'article de la mort. La nana qui cumule, c'est assez marrant, la poisse, parfois. Puis ça permet au chéri de jouer aux garde-malade, et je me fais pouponner comme un grand bébé.
Ah, cet homme. Je ne sais pas encore si tout va continuer comme ça a commencé, ou si passé le cap des 6 mois, un an,... Tout va devenir morde, fade, compliqué, rituel, routinier, et perdre toute cette magie, cette simplicité, comme si c'était écrit et que tout se déroulait tellement... Normalement. Je rêverais tellement que tout ça continue comme aujourd'hui, deux grands ados qui s'aiment comme si ils étaient les seuls au monde à connaître ça, à savoir réellement le sens du mot aimer. Se toucher, constamment, rester à proximité de regard, de câlin, ne pas pouvoir se passer l'un de l'autre plus de quelques heures.
S'envoyer des sms à longueur de journée, se taquiner, faire des projets (dans Minecraft hihi), jouer, se regarder comme si on avait trouvé le Graal au fond des yeux de l'autre, comme si j'avais trouvé mon double, une partie de moi qui n'était pas accomplie, un morceau de mon puzzle. Une personne comme mes amis si chers à mon coeur, ce genre de personne avec laquelle je n'ai pas à m'excuser d'être moi même, d'exister, avec laquelle je n'ai pas à jouer les caméléon pour le satisfaire, ou être juste moi-même lui suffit et lui correspond. Moi, ma maladresse, mes conneries, ma santé de merde, mes lubies, mes bestioles, mes goûts de chiotte, mon caractère de tit cochon, mes caprices, mes bêtises, mon émotivité, mes sautes d'humeur, mes envies, mes joies, mes peines, mes malheurs, tout, tout lui va, rien ne l'énerve, rien ne le vexe, je suis pleinement moi, et j'ai même plus besoin d'être trop mal dans ma peau parce qu'il est là pour m'aimer, moi, juste moi, pas cette personne parfaite que mon ex, mes parents, voudraient que je sois, et que je ne serais jamais. Parce que je suis humaine, que j'ai une personnalité unique, et que ça me blesse de me forcer à être quelqu'un que je ne veux pas être.
Avec lui je suis juste bien. Paisible, heureuse. Et je donnerais volontiers un poumon, un rein, des années de vie pour que ça dure toujours. Je n'avais jamais ressenti le bonheur aussi près, je l'avais touché du doigt, mais je ne m'étais jamais noyé dedans, comme aujourd'hui. Un autre avait réussi à me créer un "bonheur" factice ou rien n'allait jamais mal, ou tout était contrôlé, et ou j'étais prisonnière, tellement triste, mélancolique au final. Aujourd'hui tout ne va pas bien. Le boulot c'est pas le gros délire que j'attendais, la santé c'est tout pourri, mes parents restent égaux à eux même, ma gestion du budget reste risible. Mais pour une fois, j'arrive à ne pas m'arrêter sur ce qui ne va pas. Parce qu'il est là, et que son amour me transporte, qu'il reste le plus important, et que rien à coté ne peut m'atteindre réellement. Peut être que c'est ça, au fond, réellement, être heureux. Que tout ne soit pas parfait, mais qu'on arrive quand même à trouver la vie belle. Que même la poisse ne soit pas si terrible que ça, qu'on arrive à en rire, à faire comme si tout ça n'était pas si grave.
Si c'est ça, ben je peux le dire, je suis heureuse, enfin, et j'ai l'intention que ça ne change pas.
Je conclurais sur cette petite anecdote qui m'est arrivée il y a peu. Nous étions en voiture avec mon chéri, garés sur le parking à coté de chez moi, comme tout les soirs, à parler, se faire des câlins, rire, en attendant l'heure qu'il rentre chez lui et que je monte chez moi, après le boulot. Des gens se garaient, et une dame galérait un peu à ranger sa voiture de luxe. Elle est donc venue gentiment nous demander si nous pouvions nous décaler afin qu'elle puisse accéder plus facilement à la place avec son véhicule. Mon chéri s'est donc exécuté poliment, et elle a été très contente de pouvoir se garer plus facilement. Elle nous a chaudement remercié, puis en partant, elle a dit quelque chose qui m'a troublée, touchée.Ouais, un mois sans rien écrire, productivité 0. MAIS j'ai des excuses (oui oui, des xD) valables. Mon écran d'ordi est dead, déjà :/ (mais ça je l'avais déjà écrit dans mon avant-dernier article ^^). Le PC que mon chéri m'avait prêté est dead aussi (il avait déjà des soucis de carte mère, on pensait que c'était passé tout seul. Bah nan x)
Donc c'est assez chaud pour écrire des articles.
Puis comme la poisse me colle à la peau, j'ai choppé une angine de la mort qui m'a clouée au lit (donc exit le pc puisque mon écran viable est dans le salon lol), puis la semaine suivante (la semaine dernière quoi) un lumbago (donc je pouvais pas bouger et m'affaler dans le canapé était assez compliqué xD), et cette semaine le retour de la mort qui tue de l'angine, je ne répond pas aux antibios donc je dois subir des injections dans le fondement (enfin très exactement dans le gras de la hanche) tous les jours. Classe =)
Bref, je le prend avec philosophie, ça fait marrer les gens (et moi avec) après coup, quand j'suis plus à l'article de la mort. La nana qui cumule, c'est assez marrant, la poisse, parfois. Puis ça permet au chéri de jouer aux garde-malade, et je me fais pouponner comme un grand bébé.
Ah, cet homme. Je ne sais pas encore si tout va continuer comme ça a commencé, ou si passé le cap des 6 mois, un an,... Tout va devenir morde, fade, compliqué, rituel, routinier, et perdre toute cette magie, cette simplicité, comme si c'était écrit et que tout se déroulait tellement... Normalement. Je rêverais tellement que tout ça continue comme aujourd'hui, deux grands ados qui s'aiment comme si ils étaient les seuls au monde à connaître ça, à savoir réellement le sens du mot aimer. Se toucher, constamment, rester à proximité de regard, de câlin, ne pas pouvoir se passer l'un de l'autre plus de quelques heures.
S'envoyer des sms à longueur de journée, se taquiner, faire des projets (dans Minecraft hihi), jouer, se regarder comme si on avait trouvé le Graal au fond des yeux de l'autre, comme si j'avais trouvé mon double, une partie de moi qui n'était pas accomplie, un morceau de mon puzzle. Une personne comme mes amis si chers à mon coeur, ce genre de personne avec laquelle je n'ai pas à m'excuser d'être moi même, d'exister, avec laquelle je n'ai pas à jouer les caméléon pour le satisfaire, ou être juste moi-même lui suffit et lui correspond. Moi, ma maladresse, mes conneries, ma santé de merde, mes lubies, mes bestioles, mes goûts de chiotte, mon caractère de tit cochon, mes caprices, mes bêtises, mon émotivité, mes sautes d'humeur, mes envies, mes joies, mes peines, mes malheurs, tout, tout lui va, rien ne l'énerve, rien ne le vexe, je suis pleinement moi, et j'ai même plus besoin d'être trop mal dans ma peau parce qu'il est là pour m'aimer, moi, juste moi, pas cette personne parfaite que mon ex, mes parents, voudraient que je sois, et que je ne serais jamais. Parce que je suis humaine, que j'ai une personnalité unique, et que ça me blesse de me forcer à être quelqu'un que je ne veux pas être.
Avec lui je suis juste bien. Paisible, heureuse. Et je donnerais volontiers un poumon, un rein, des années de vie pour que ça dure toujours. Je n'avais jamais ressenti le bonheur aussi près, je l'avais touché du doigt, mais je ne m'étais jamais noyé dedans, comme aujourd'hui. Un autre avait réussi à me créer un "bonheur" factice ou rien n'allait jamais mal, ou tout était contrôlé, et ou j'étais prisonnière, tellement triste, mélancolique au final. Aujourd'hui tout ne va pas bien. Le boulot c'est pas le gros délire que j'attendais, la santé c'est tout pourri, mes parents restent égaux à eux même, ma gestion du budget reste risible. Mais pour une fois, j'arrive à ne pas m'arrêter sur ce qui ne va pas. Parce qu'il est là, et que son amour me transporte, qu'il reste le plus important, et que rien à coté ne peut m'atteindre réellement. Peut être que c'est ça, au fond, réellement, être heureux. Que tout ne soit pas parfait, mais qu'on arrive quand même à trouver la vie belle. Que même la poisse ne soit pas si terrible que ça, qu'on arrive à en rire, à faire comme si tout ça n'était pas si grave.
Si c'est ça, ben je peux le dire, je suis heureuse, enfin, et j'ai l'intention que ça ne change pas.
Elle m'a regardé, et elle a dit "soyez heureux".
Je crois que c'était la plus belle chose qu'on pouvait nous souhaiter, et je remercie énormément cette dame pour ce moment de gentillesse, de poésie, dans l'instant.
Et je souhaite cela à tout le monde, tout ceux qui le méritent, tout ceux qui galèrent, tout ceux qui y croient encore. Soyez heureux =)
